maison briarde
balade en briard
Balade : en partant de Jouarre , par , Ferriéres , Vaux -le-vicomte , arrivée à Blandy .
Blandy
la forteresse édifiée au XIIe siècle et remaniée au XVIe siècle domine le val d’ Ancoeur de sa masse imposante, enceinte hexagonale est flanquée de cinq tours rondes .
Le château fort de Blandy-les-Tours est l'un des derniers témoins de l'architecture militaire médiévale d'Île-de-France. Construit au XIIIème siècle, il a traversé l'histoire : manoir, château fort, château résidentiel puis simple ferme, avant de tomber en ruines.
Une restauration d’envergure, menée par le Conseil général, propriétaire du château depuis 1992, a redonné vie à la forteresse. L’archéologie et les évolutions architecturales du bâti sont au cœur du projet muséographique. Dans la grande salle d’exposition, le visiteur découvre l’histoire du château par grandes périodes, représentées par des objets restaurés. Un parcours le conduit ensuite de la cour aux tours et courtines jusqu’au sommet du donjon où s’offre à lui un panorama exceptionnel sur la Brie française.Acteur d’un patrimoine vivant, le château de Blandy accueille tout au long de l’année une programmation artistique et culturelle destinée à un large public.
Ferriéres
ancienne propriétes des Rothschild , le château est agrémenté d’un superbe parc à l’anglaise dessiné par sir Joseph Paxton .
Le domaine de Ferrières est situé en Seine et Marne, entre Lagny et Pontcarré. Il couvrait plus de 3000 hectares de bois, de taillis, de pâturages, de terres cultivées, appelés à constituer, eu égard à l’extension rapide de la banlieue vers l’Est, une réserve écologique, l’un des poumons de la capitale. Toutes ces terres avaient été rassemblées avec patience et prémonition, à partir de 1828, par le baron James de Rothschild, fondateur de la branche française de cette illustre famille de banquiers. Sur l’emplacement du premier château qui appartenait à Fouché, le ministre des finances de Napoléon Ier, le baron se fit construire une résidence qui devait consacrer son ascension sociale et sa suprématie financière. Les dispositions de cette fameuse demeure avaient été étudiées à la fois pour abriter d’inestimables collections de tableaux, de tapisseries, d’objets d’art de toutes sortes, et pour servir de cadre à des fêtes somptueuses. Médusés, les invités auxquels étaient offerts les plaisirs de la chasse s’attendaient à voir voler les faisans tous rôtis et bourrés de truffes
Jouarre
les cryptes de l’abbaye se composent de deux chapelles mérovingienne ; la crypte St-Paul renferme le tombeau St Agilbert .
Les Cryptes Mérovingiennes de Jouarre, joyau du patrimoine et de l’art Mérovingien, les Cryptes de Jouarre demeurent un ensemble unique en Europe, car elles sont les plus anciennes. Leur visite vous fera voyager dans le temps, vous transportant dans les années 660. La Crypte St Paul repose sur deux rangées de trois colonnes gallo-romaines surmontées par de beaux chapiteaux Mérovingiens en marbre des Pyrénées. Avec la Crypte St Ebrégésile, elles accueillent les tombeaux des saints fondateurs de l’abbaye Notre Dame de Jouarre ainsi que les premières abbesses. L’abbaye Notre-Dame de Jouarre est toujours un lieu de prière et de travail, hébergeant les Bénédictines.
Vaux le Vicomte
l’admirable demeure du surintendant Fouquet est l’oeuvre de Louis Le Vau , Charles Le Brun et André le Nôtre .
L'un des plus beaux châteaux de France, Vaux le Vicomte, fut la résidence de Nicolas Fouquet (1615-1680), un ministre loyal emprisonné à tort pour vol, qui y accueillit de nombreux artistes, écrivains et poètes de l'époque.
Tous ont laissé leur empreinte sur cette magnifique demeure qui mérite que l'on consacre une journée entière à sa visite pour vraiment pouvoir apprécier la grandeur de ses intérieurs, superbes parcs, jardins et fontaines ainsi que son musée des attelages.
Emerveillez-vous face à cette création fantastique qui demeure aussi resplendissante qu'à l'époque de Fouquet.
A ne pas manquer
LA BRIE
Villeneuve sur bellot
- Église dédiée à Saint-Remi-et-Saint-Louis (XIIe siècle) et (XVIIIe siècle). - École (XIXe siècle). - Château de Villeneuve (XVIe siècle).
Sablonniéres
- Église Saint-Martin
Barbizon
- no 12 : c'est ici que le gendre du Père Ganne ouvrit en 1870 une annexe de l'auberge Ganne qu'il baptisa « villa des artistes », une plaque rappelle que le peintre roumain Nicolae Grigorescu (1838-1907), y fut hébergé à partir de 1861.
- no 15 : maison du peintre Charles Ferdinand Ceramano (1829-1909), plaque commémorative sur la façade.
- no 19 : maison du peintre Victor Lecomte (1856-1920), plaque commémorative sur la façade.
- no 21 : maison de Charles-François Daubigny (1817-1878), grand paysagiste français. Actuellement hôtel des Pléïades, fondé en 1920.
- no 22: hostellerie du Bas-Bréau, ancienne auberge Siron, créée en 1867 et deviendra plus tard l'hôtel des expositions, deux plaques rappellent que l'écrivain écossais Robert Louis
- no 24 : ici s'élève la maison du peintre et graveur animalier Charles Jacque (1813-1894), plaque commémorative sur la façade.
- no 26 : maison d'Antoine Louis Barye (1796-1875), sculpteur animalier majeur du XIXe siècle et peintre, . Ici se touve aujourd'hui l'auberge La Flambée.
- no 28 : maison de Narcisse Díaz de la Peña (1807-1876)
- no 27-29 : maison-atelier de Jean-François Millet (1814-1875), il y demeura de 1849 à 1875. Devenu musée en 1922.
- no 32 : la villa Élisabeth, propriété où s'installa l'écrivain Roland Dorgelès (1885-1973).
- no 38 :maison du peintre et graveur suisse Karl Bodmer (1809-1893), i,et de son fils Rodolphe Bodmer (1856-1923) artiste peintre inhumé au cimetière communa
- no 40 : ancienne Auberge des Charmettes, qui reçut entre-autre le peintre suisse Karl Bodmer (1809-1873)
- no 51 : maison-atelier de Roland Arribas qu'il occupa de 1957 à 1970. Aujourd'hui restaurant Ermitage Saint-Antoine, plaque commémorative sur la façade
- no 55 : ici s'élève la maison de Théodore Rousseau (1812-1867), qu'il occupa de 1847 à sa mort, et dont la grange fut transformée en chapelle
- no 56 : maison de Félix Ziem (1821-1911), il l'occupa de 1907 à sa mort, plaque commémorative sur la façade
- no 92 : l'auberge Ganne, devenue le musée départemental de l'École de Barbizon. Elle a été ouverte en 1824.
Fontainebleau
Fontainebleau abrite un célèbre château royal, autrefois simple rendez-vous de chasse, plusieurs fois modifié et agrandi depuis François Ier. C'est là que Louis XIV révoqua l'Édit de Nantes par l'Édit de Fontainebleau le . C'est dans la cour (appelée depuis Cour des Adieux), devant le château, que l'empereur Napoléon Ier abdiqua devant sa garde impériale en 1814.
- l'église Saint Louis est un édifice du XVIIe siècle qui fut totalement restauré et agrandi en 1868
St Loup de naud
Église Saint-Loup
Frappée le 17 août 2011 par un arrêté municipal de péril, l'église fut fermée avant de rouvrir au public en décembre 2013.
Tour de la « Haute Maison »
La Tour de la « Haute Maison », construite au XIIIe siècle, est l'ancienne maison forte du prieuré de Saint-Loup
Maincy
Larchant
Basilique Saint-Mathurin de Larchant
- Fontaine St Mathurin : Une fontaine, dont l’emplacement remonte sans doute aux origines du village de Larchant, se trouve située dans les bois à l’écart du village et à 600 mètres environ en ligne droite au Nord de l’église. Elle se compose, à flanc de coteau, d’un petit édicule de pierre, reconstruit probablement plusieurs fois et en dernier lieu, il y a une centaine d’années, et qui recouvre un petit bassin dont une roche forme le fond. Ce bassin est alimenté actuellement de façon intermittente, par de l’eau qui ruisselle à faible profondeur.
- Anciennes bornes (Forêt de la Commanderie) : D’anciennes bornes de limite, datées d’avant la Révolution, marquent encore le territoire de Larchant en direction de Villiers-sous-Grez. Elles sont frappées du signe du Chapitre, c’est-à-dire des ceps, avec lesquels on entravait les fous qui étaient amenés à saint Mathurin pour leur guérison.
- Anciennes halles (XVe siècle) : L’emplacement des anciennes halles de Larchant est encore visible, rue de l'Église, par une plaque apposée en 1792.
- Ancienne auberge des Trois Rois : Au carrefour des Trois Rois se situe la maison ancienne la mieux conservée de Larchant, avec sa façade du XVe siècle. Il s’agit d’une ancienne auberge avec ses dépendances, comme il en existait de nombreuses aux temps florissants du pèlerinage de Larchant.
- Grange aux dîme, colombier et puits à la Ferme du Chapitre : La ferme du Chapitre domine le village de Larchant. On y voit, dans la cour, un puits du XVe siècle avec une inscription datée de 1476. Il existe aussi une grange aux dîmes, reconstruite au XVIIIe siècle, afin de recueillir la part des récoltes destinée aux chanoines, ainsi qu’un pigeonnier de la même époque.
Egreville
- Le Jardin-musée Bourdelle d'Égreville a été construit dans les années 1960 par Michel Dufet et son épouse Rhodia, fille de Antoine Bourdelle. Le musée expose dans son jardin 56 sculptures de l'artiste dont un bronze d'Héraklès archer. On peut voir aussi les reliefs L’Aurore et Le Crépuscule, destinés à la maison de la veuve du grand historien Jules Michelet et exécutés en 1895. Ils témoignent de l’assimilation par Bourdelle d’un esprit décoratif, entre symbolisme et art nouveau.
- Les Halles d'Égreville classées au titre des monuments historiques ont été construites à la fin du XVe siècle. Elles remplaçaient un premier ouvrage détruit par un incendie en 1273. La charpente dont l'embase était en chêne reposait initialement au contact immédiat du sol ainsi l'humidité endommageait la charpente en remontant par capillarité. En 1638, elles furent rénovées. Une travée fut supprimée pour construire le deuxième pignon en maçonnerie et les 28 piliers seront posés sur des assises en pierre ; en 1663, il fut aussi installé des renforts obliques. Les assises en pierres furent remplacées en 1769. Les halles abritent le marché hebdomadaire d'Égreville et la foire à la volaille grasse le deuxième week-end de décembre.
L'église Paroissiale Saint-Martin classée pour partie au titre des monuments historiques construite au XIIIe siècle, reconstruite au XVe siècle et agrandie au XVIIe siècle. Elle renferme une crypte abritant les membres de la famille du Maréchal Louis de La Châtre qui l'a fait construire. Elle abrite également la pierre tombale du Chevalier Aymond d'Aigreville décédé en 1523 et cousin de l'Amiral Gaspard de Coligny. Sa construction est due à Jean II d'Aigreville et sa reconstruction à Jean VII d'Aigreville.
- Le château d'Égreville, inscrit au titre des monuments historiques construit au XIIe siècle par Garmond 1er du Donjon plus connu comme ancien gouverneur de la place forte de Château-Landon.
Crouy sur ourcq
- L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte (ou Juliette) : datant du XIIe siècle,
- Château du Houssoy (XIVe siècle) : l'aile garnie de mâchicoulis s' étendant sur l'avenue de la Gare est classée par l'arrêté du ; le donjon et le grand mur pignon
- Ruines du château de Gesvres-le-Duc, datant du XVIe siècle et son architecte fut François Mansart (monument historique, arrêté du ). .
- Château de Champivert (XVIIe siècle), place de Champivert.
- Musée de la vie quotidienne et du terroir. - La place du marché et sa fontaine aux 3 angelots.
- Notre-Dame du Chêne La chapelle date du XIXe siècle et son oratoire de 1865.
- Monument aux morts sculpté en 1922 par François Mourgues (1884-1954).
Crecy la chapelle
- Collégiale Notre-Dame, classée monument historique depuis 1846
- Église Saint-Georges. - Beffroi. - Quai des Tanneries. - Tour aux Saints.
- Passage du Guet : partant de la rue Dam' Gilles (qui tient son nom, comme son pont d'ailleurs, d'un ancien seigneur créçois : le damoiseau Gilles de Cuisy, d'où l'écriture élidé de « Dam » - une erreur fréquente est d'écrire « Dame Gilles »), à côté d'une maison où logea le peintre Corot (plaque), une entrée passant par un porche bas débouche sur une étroite ruelle pavée, zigzaguant entre deux anciennes tours de la première ceinture (d'où son nom), pour rejoindre une passerelle sautant un brasset du Grand Morin typique de Crécy.
- Monument aux Morts de la guerre 1914-1918 signé Edme Marie Cadoux.
Blandy les tours
Le château de Blandy-les-Tours est un château fort médiéval situé sur la commune de Blandy-les-Tours dans le département de Seine-et-Marne, non loin du château de Vaux-le-Vicomte. Le château est situé au cœur du village de Blandy. Depuis son acquisition par le conseil général de Seine-et-Marne, il a fait l'objet de plusieurs campagnes de restaurations et de fouilles archéologiques. Le château fut construit du XIIIe au XIVe siècles
Date de dernière mise à jour : 2016-05-24 14:37:30