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maison de hte vienne

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LA  MAISON  DE  LA  HAUTE-VIENNE

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                                                     Préfecture  : Limoges           sous-préfecture : Bellac - Rochechouart

                                departement : Hte vienne 87                       région :  NOUVELLE AQUITAINE 100px haute vienne position svg

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 REGION AQUITAINE LIMOUSIN POITOU CHARENTE 

Region auitaine limousin poitou charente

Hte vienne 3

balade en haute-vienne

Balade : en partant du Lac de Vassiviére , Solignac , Rochechouart , Le Dorat , arrivée à Châteauponsac .

 

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Lac de Vassiviére

avec ses 1000 ha , on peut y pratiquer voile , ski nautique ou planche à voile , les pêcheurs taquineront brochets , sandres , carpes et gardons .

Avec 1100 ha, 45 Km de périmètre pour une profondeur maximum de 35 m, c’est le plus grand lac de retenue du Limousin. C’est aussi l’un des plus grands en France. Cette véritable petit mer intérieure située au cœur du Parc Naturel Régional de Millevaches en Limousin, offre l’assurance d’un dépaysement complet dans un cadre particulier, mêlant collines couvertes de bruyère et les forêts de sapins et d’autres essences.
En toute saison, le pêcheur pourra rechercher perches, sandres et brochets, du bord ou en bateau. La population de cyprins est surtout composée de gardons. La carpe est peu abondante mais les sujets sont de grande taille.

 

L'abbaye Saint Eloi de Solignac a une histoire mouvementée... détruite et reconstruite pas moins de 10 fois, il ne subsiste aujourd'hui qu'une très belle église romane du XIIème siècle qui passe pour être l'un des plus grands monuments du Limousin. 
Cette vaste église à coupoles possède quelques trésors remarquables : un ensemble de stalles sculptées remarquable, un buste reliquaire de Saint Théau du XIIème siècle, un bas-relief représentant le Christ en majesté au dessus du portail du croisillon nord. 
Après avoir été une puissante et riche abbaye, elle va connaître le déclin à la fin du Moyen Age quand les marchands devenus riches bourgeois en eurent assez de devoir rendre des comptes aux abbés ! 
Devenue manufacture, école, maison d'arrêt après la Révolution, ce n'est que récemment qu'elle a retrouvé sa première vocation. 
La légende veut qu'Eloi, né près de Limoges, formé à l'orféverie dans les ateliers limousins, se rendit à la cour de Bon Roi Dagobert lui fabriquer un trône. Le Roi le fit évêque et ministre, puis lui fit don de la terre de Solignac pour y fonder l'abbaye. Le petit bourg s'est enroulé autour de la masse de l'abbaye, joliment restauré, avec son pont médiéval et ses maisons anciennes... C'est un endroit des plus charmant !


 

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Rochechouart

dominant le confluent de la Vayres, le château propriéte des Rochechouart ;une météorite a percuté la terre non loin du château ( 214 millions d’années ); l’espace météorite Paul Pellas propose une exposition .

Dressé sur un promontoire rocheux au confluent de la Vayres et de la Graine, le château des Vicomtes de Rochechouart est le reflet de la puissance de ses bâtisseurs.

Les constructions ont débuté au XIIIème siècle avec le donjon et le pont-levis qui rappellent encore aujourd’hui les systèmes de défenses militaires de l’époque.Bien que le château soit devenu, avec ses transformations, plus confortable, son occupation n’a duré que peu d’années.Le département achète le château en 1836 et entreprend sa restauration à l’identique. Il y installe diverses administrations et les appartements sous-préfectoraux.
Le château abrite actuellement le Musée Départemental d’Art contemporain.Il fut agrandi et embelli au cours des siècles par les familles qui l’occupèrent. Au XV ème siècle, c’est un corps de logis spacieux de style Renaissance, qui lui a porté toute son ornementation, ses façades élégantes et harmonieuses. La galerie à arcades et colonnes torses de la cour intérieure, date de cette période.
Au XVII ème, XVIII ème siècles, des bâtiments sont construits en équerre, au niveau de l’actuelle place de l’Hotel de Ville.

 

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Le Dorat

pays d’art et d’architecture ; sa superbe collégiale , la porte de la ville dite" bergère " unique porte fortifiée de la Haute-Vienne.

 ancienne capitale historique de la Basse Marche, l'origine de ce village remonte dès le IVe siècle. Après un passé glorieux, la cité conserve aujourd'hui de nombreux édifices : une porte fortifiée (la porte Bergère témoin du système de fortifications édifié au XVe siècle), quelques ruelles étroites et tortueuses qui lui confèrent encore un aspect de ville médiévale, une église romane du XIIe siècle avec sa flèche octogonale culminant à 60 mètres et supportant un ange doré du XIIIe siècle.

 

 

A ne pas manquer

Bellac

Bellac

  • Église Notre-Dame-de-Bellac (XIIe et XIVe siècles), classée à l'inventaire des monuments historiques depuis le 6 février 1926 
  • Chasse du XIIe siècle (vers 1130) en cuivre doré avec des émaux incrustés réalisés par les ateliers d'émaux de Limoges. 
  • Chapelle des Pénitents anciennement Chapelle de Saint-Jean-Baptiste construite en 1711 
  • Chapelle Notre-Dame-Lorette dans le village de Saint-Sauveur construite au XVIIe siècle(1621), 
  • Vieux pont de la pierre (XIIIe siècle)               *Ancien séchoir à peaux (XVe siècle) ; Bellac possède des tanneries depuis le XIIIe siècle.
  • Sous-préfecture (XVIIIe siècle)                           - Hôtel de ville : ancien castel des Barthon de Montbas (XVIIe siècle), 
  • Vestiges des remparts (XIIIe siècle) avec la tour du consul Genebrias (XVIe siècle) à l'ombre de l'ancien Grand Portail disparu, une des trois entrées de la ville médiévale avec la porte Trilloux et la porte de la Prade.
  • Maisons anciennes des XVe et XVIIIe siècles, ainsi que quartiers et rues pittoresques                       - Palais de justice du XIXe siècle.
  • Monument aux morts d'inspiration pacifiste dont la sculpture est du limougeaud Henri Coutheillas (1862 - 1928).
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Bessines sur gartempe

Bessine sur gartempe

Dournazac

Dournazac

  • église Saint-Sulpice XIIe siècle ;    - le Château de Montbrun, XIIe siècle, XVe siècle ;                  - l'abbaye de Thavaud, XIIe siècle ;
  • La commune comprend aussi un souterrain répertorié qui a fait l'objet de fouilles orientées sur le Moyen Âge. Ce site est à 180 m au nord de la D64 le long de la limite de commune avec La Chapelle, et à 500 m au nord-est du site gallo-romain les Couvents sur cette dernière commune
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Eymoutiers

Eymoutiers

Magnac bourg

Magnac bourg

  • Église gothique du XVe siècle (clocher XIXe) et remarquables vitraux du XVIe siècle.                      - Pierre, dite dolmen de La Villedieu
  • Arche ogivale du grenier d'abondance des Rohan         - Cippe funéraire gallo−romain                      - Maison à 2 tourelles de 1601
  • Maison de La Bastide du XVIIIe siècle                          - Épis de faîtage en terre cuite émaillée du XVIIe siècle
  • Château de Lostende du XVIIIe siècle              - Anciennes tuileries et poteries (village de Duris)            - Gare de Magnac - Vicq

 

Pierre buffieres

Pierre buffire

St leonard de noblat

St leonard de noblat

La collégiale Saint-Léonard[8], qui date des XIe et XIIe siècles est dédiée à saint Léonard, c'est un chef-d’œuvre de l’art roman limousin. Elle fait partie du Patrimoine Mondial de l'humanité au titre des Routes de Saint-Jacques-de-Compostelle.

  • Le clocher : il est un très bel exemple de clocher dit « limousin ». Il repose sur un porche ouvert de deux côtés et orné de chapiteaux. Il est formé de 4 étages carrés, surmontés de 2 étages octogonaux.
  • Tombeau de saint Léonard : situé à l'intérieur de l'église, dans le croisillon sud, il est surmonté de sa chaîne de prisonnier. La tradition veut que les femmes désirant se marier et procréer viennent toucher le verrou.

 

  • L’ancien hôpital des pèlerins a des portes des XIIIe siècle, XIVe siècle et XVIIe siècle.
  • Le couvent des filles de Notre Dame : ancien couvent du XVIIe siècle, il a été reconverti en gendarmerie et prison (début XXe siècle), aujourd'hui en Foyer-Rural - Centre social. Le musée Gay-Lussac s’y trouve aussi.
  • La tour ronde et la tour carrée sur la place de la République. 
  • La maison des consuls. Il n'en reste que des éléments de façades, dont plusieurs très belles fenêtres géminées, mais murées.
  • L'ancien prieuré de l'Artige[9] sur le territoire de la commune a conservé son église et une partie du cloître. 
  •  - Le pont de Noblat (XIIIe siècle), franchissant la Vienne.  -Les maisons anciennes dans le quartier proche de l'église

 

St sauviat sur vige

St sauviat sur vige

  • L'usine de porcelaine « Médard de Noblat », rachetée en 1989 par Georges Médard. Elle fut créée en 1836 et louée à Guibert de la beausserie puis à Gillet. Reprise par Louis-Aimé Tharaud, il la géra de 1853 à 1873, il employa jusqu'à 250 ouvriers. André Dupuy la racheta en 1884, réalisant une porcelaine cuite au feu de bois. En 1935, elle est rachetée par Giraud et Brousseau qui poursuivent la cuisson au feu de bois, ils obtiennent une porcelaine de très belle qualité. La forme corail fut l'un de leurs grands succès, en particulier la soupière surmontée d'un animal fantaisie.
  • L'église du XIIIe siècle, clocher du XVIIe siècle.
  • Le dolmen de la Pierre-Levée, à quelques kilomètres du centre-bourg, sur la D12 en direction de « Le Theil ».
  • La croix de cimetière et une dalle funéraire, érigée probablement lors du transfert du cimetière en 1843 ; croix XVIIe siècle, dalle funéraire XVe ou XVIe siècle ; cette dalle funéraire pourrait provenir de l'enfeu aménagé dans le mur nord de l'église de Sauviat. Cette croix dont les montants et les traverses d'égales longueurs peuvent s'inscrire dans un cercle est apparentée au groupe des croix maltaises ; la dalle funéraire dressée verticalement contre le soubassement de la croix est sculptée en demi relief d'un gisant les mains jointes

St pardoux

St Pardoux

Le Lac de Saint-Pardoux est un lac artificiel situé en Haute-Vienne, à 25 km au nord de Limoges, créé en 1977. Il est par sa taille le deuxième plan d'eau de la Haute-Vienne, derrière le lac de Vassivière, avec lequel il est l'un des principaux lacs touristiques de la région.

 

Oradour sur glane

Oradour sur glane

  • église Saint-Martin, construite à quelques centaines de mètres du village martyr. Dessinée par l'architecte Paul Villemain, elle est construite en 1952, les cloches sont bénies le 12 juillet 1953. Cette construction au style un peu académique reste modeste par ses dimensions et par son vocabulaire architectural. Basée sur un plan en croix grecque, elle est inondée de lumière par une série de trois murs-rideaux comportant de fines baies rectangulaires, ornées de vitraux modernistes de Francis et Pierre Chigot (sur le dessin de Pierre Parot). La façade est une interprétation libre des canons antiques. Le portail, qui s'inscrit dans une immense arcade rectangulaire, abrite des fresques relatant la vie de saint Martin, œuvre de l'artiste Burkhalter. Jouxtant l'église (côté est), une statue d'Apel·les Fenosa est dédiée aux martyrs d'Oradour. Cette église est inscrite depuis le 5 octobre 2012;
  • le château de Laplaud. Héritier d'un ancien manoir du début du XVIIe siècle, le château actuel est restauré en 1790 par l'architecte Mathurin Brousseau, qui reconstruit sa façade principale. Au XVIIe siècle, cette demeure accueille Marie Bruneau des Loges, un des beaux esprits de son temps, qui s'y retire en 1629. Elle y meurt en 1641. Une partie du château (façade, escalier central du corps de logis, grenier en pans de bois sur portique) est inscrite depuis le 11 juillet 1995
  • le village martyr, site classé depuis le 10 mai 1946[26]. Après la guerre, le général de Gaulle décide que les ruines du village ne seront pas reconstruites. Entourées par un haut mur de pierres avec deux portails d'accès cadenassés situés sur l'ancienne route qui traversait le village, elles sont devenues propriété de l'état et se dressent comme un mémorial à la douleur de la France sous l'Occupation, et un appel à ne jamais oublier. En 1999, le village est consacré « village martyr » par le président Jacques Chirac. Depuis cette date, le centre de la mémoire sert de trait d'union entre le nouveau village et les ruines. Grâce à des expositions permanentes permettant de mieux comprendre le contexte historique, ce centre de documentation prépare le visiteur au choc que représente la vue du village martyr. Les maisons, l'église, les commerces et les édifices publics en ruines à demi calcinés témoignent de la rage meurtrière qui s'est abattue sur ce petit village en cette fin de printemps 1944. En suivant la rue principale, on accède à la place du champ de foire. Des plaques apposées sur les maisons signalent les différents lieux de supplice et invitent au recueillement et à la réflexion. Les principaux monuments de ce petit bourg limousin, que rien ne destinait à être le symbole de la barbarie, sont encore bien visibles : l'hôtel des postes, l'école primaire, l'ancienne église Saint-Martin enfin, où périrent 500 femmes et enfants. Les ruines des maisons conservent encore de maigres éléments de mobilier, rouillés et vermoulus, tandis que les rues sont encore jonchées de quelques carcasses de voitures d'époque, et des restes de rails de l'ancien tramway départemental. La visite de la maison du souvenir où sont rassemblés des objets ayant résisté aux flammes et celle du cimetière où reposent dans un ossuaire les restes calcinés des victimes laissent un souvenir impérissable.
  • l'enceinte de terre et sa rampe d'accès, sont inscrites depuis le 10 décembre 1979;
  • la lanterne des morts, au cimetière, est inscrite depuis le 6 février 1926. Les lanternes des Morts sont des monuments caractéristiques des anciennes provinces de l'ouest de la France (Poitou, Saintonge, Aunis, Limousin, Périgord, Guyenne). Originellement toujours situés dans l'enceinte des cimetières, ces constructions étaient sans doute des fanaux funéraires. Prenant la forme de tours plus ou moins hautes, on y allumait des feux destinés à « guider » symboliquement les défunts, selon une hypothèse couramment établie. Celle d'Oradour-sur-Glane date du XIIe siècle. De forme rectangulaire, ornée d'une torsade sur la frise qui supporte le toit, elle se trouve toujours au centre du cimetière. Ses dimensions sont de 6,5 mètres de haut pour 1,2 mètre de côté
  • Une statue de saint Victornien, autrefois conservée dans l'église, a été retrouvée après l'incendie. Datée du milieu du XVe siècle, cette œuvre mutilée (nez, mains et pieds ont disparu, et la statue a souffert des flammes) est classée au titre d'objet depuis le 21 mai 1957

 

Date de dernière mise à jour : 2016-06-30 20:44:59

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