maison cevenole
balade cévenole
Balade : en partant de Le Can de l’Hospitalet , par Le Mont Aigoual ,Saint-André-de-Valborgne , Le Col Saint-Pierre , arrivée à
Mas-soubeyran .
Mas Soubeyran
est situé sur un petit plateau entouré de montagnes , à ne pas manquer :le musée du désert , histoire du protestantisme .
Mialet, petit village cénevol typique aux ruelles pavées, renferme le mas Soubeyran, maison natale du chef camisard Pierre Laporte, alias Rolland. Celui-ci tint tête au pouvoir politique en place pour défendre le calvinisme. Malgré les supplices infligés aux huguenots, ces derniers restèrent fidèles à leur religion.Tel un hommage qui leur serait rendu, un musée a pris place dans le mas Soubeyran. Le musée du Désert est entièrement consacré à l'histoire du protestantisme dans les Cévennes. Vous y trouvez de nombreux documents, des objets profanes et religieux, tandis que des reconstitutions retracent l'histoire de la réforme.
L'exposition comprend notamment une remarquable collection de bibles du XVIème au XVIIIème siècle. Vous découvrez également des exemples de cachettes ingénieuses utilisées pour échapper aux troupes adverses. Vous serez marqué par votre passage dans la salle du Mémorial, évoquant le souvenir des Martyrs du Désert : exécutés, réfugiés, galériens et prisonniers.
Col St Pierre : dans la vallée Borgne ,le col marque la limite entre le Gard et
Le Can de l’Hospitalet
traversé par la draille du Margeride et bordé de montjoies grandes pierres destinées à guider le voyageur par temps de neige et de brouillard .Le can de l'hospitalet offre un panorama exceptionnel sur la barre des cévennes ..
Mont Aigoual
à
St Andre de Valborgne
culture du ver à soie , une église romane du XIIIe siècle et une chapelle gothique du XIVe siècle , sur les rives du Gardon.
Chef-lieu du canton, Saint-André de Valborgne offre au résident ou au vacancier un lieu de villégiature apprécié, dans un écrin de nature encore sauvage, renouvelée à chaque saison. Sa situation géographique au coeur des Cévennes, permettant de rayonner aux alentours (vallées cévenoles, Causses), la proximité du mont Aigoual (à 45 minutes), donne au village un attrait supplémentaire pour les amateurs de vacances paisibles et de pleine nature.
A ne pas manquer
la cascade du sautadet
Les cascades du Sautadet sont une série de chutes d'eau et de rapides d'un niveau progressif de 15 mètres situés sur le cours de la Cèze, à hauteur de la commune de la Roque-sur-Cèze, dans le département du Gard et la région Languedoc-Roussillon.
Les cascades du Sautadet se sont formées par l'action érosive de la rivière sur une masse rocheuse calcaire d'environ 500 mètres de large, soulevée lors du plissement alpin. Elles consistent en de très nombreuses cavités se recoupant la plupart du temps en nids de poule, corbeilles, gours, voire en grands « chaudrons ». La profondeur de ces derniers peut dépasser les 10 mètres. Ils retiennent une eau chatoyante sous les rayons du soleil au zénith à cet endroit et les ombres qu'il projette.
Bagnos sur ceze
Le centre-ville de Bagnols-sur-Cèze a gardé son caractère avec des ruelles étroites et des façades anciennes. Au centre de la vieille ville se trouve une belle place à arcades ("couverts"), la place Mallet, anciennement place du Marché. Plantée sur la place, une croix de mission du XVIIIe siècle. Plusieurs beaux hôtels particuliers donnent sur cette place : l'hôtel de Luynes, l'hôtel Madier (hôtel de ville)… À proximité se dresse la tour de l'Horloge, un temps siège du consulat, vestige de l'époque médiévale.
L'église Saint-Jean-Baptiste est de style roman, ses parties les plus anciennes remonteraient au XIe siècle. Le remploi de deux colonnes de style ionique donne un charme particulier à son portail occidental. La flèche du clocher date du début du XVIIe siècle ; de style gothique, elle culmine à 43 mètres. Par ailleurs, le clocher abrite un puissant bourdon de 2,5 t.
On trouve dans un rayon de 60 km autour de Bagnols les gorges de l'Ardèche, la vallée de la Cèze, le mont Ventoux, le théâtre antique d'Orange, le Pont-du-Gard, le Duché d'Uzès, le palais des Papes d'Avignon, les Arènes de Nîmes et les Arènes d'Arles.
Lussan
- Menhir de la Pierre Plantée Classé MH (1910). - Château du XVe siècle Classé MH (1985).
- Château de Fan du XVIe siècle Inscrit MH (1972) : situé en bas du village et ayant appartenu à la famille d'André Gide jusqu'en 1920.
- Vestiges de l'ancien château du XIIe siècle au Verger.
Pont st esprit
Cathédrale Notre-Dame de Nazareth et son cloître
Le Duché - Chartreuse du Val de Bénédiction? - Abbatiale Sainte-Marie? - Cathédrale Saint-Vincent
?Château de Chamaret? - Château de Grignan? - Château-Musée des Adhémar? - Château de Suze-la-Rousse? -Pont Saint-Bénezet
Dourbies
L'église paroissiale romane Notre-Dame-de-l'Assomption au clocher élancé (34 mètres) a été construite par l'architecte Félicien Allard de Nîmes entre 1883 et 1887 avec l'aide des habitants des environs. à cause de sa grandeur et de son architecture lancée vers le ciel, imposante mais fine, elle a été appelée par les voisins et la population de Dourbies la cathédrale des Cévennes Une allocution a été prononcée le 8 juin 1885 par Monseigneur François-Nicolas Besson, évêque de Nîmes, à l'occasion de la pose de la première pierre. Le centenaire a été fété le 20 septembre 1987.
St andre de valborgne
- Village typiquement cévenol aux rues étroites, bordées de belles maisons anciennes
- Maison forte du XVIIe siècle, dite « le Château » - Fontaine du Griffon - Le Pont Vieux
- Châteaux privés sur le territoire de la commune : le château du Folhaquier mentionné au XIIIe siècle ; le château de Nogaret reconstruit au XVIIe ; le Mas Voyer ; le château des Barbuts mentionné au XIIIe siècle ; les ruines du château de la Fare mentionné au XIIe
- Église restaurée de style roman dont l'origine date des XIIIe / XIVe siècles : nef unique, abside semi-circulaire, chapelles ogivales
- Temple protestant datant du début du XIXe siècle ; d'autres temples, pour certains désaffectés, existent à proximité des nombreux hameaux qui composent cette vaste commune
- Tour de l'horloge surmontée d'un campanile en fer forgé abritant une cloche du XVIe siècle
Suméne
L'église Sainte-Marie Notre-Dame commence à être construite en 1689 à la place de 6 maisons achetées et détruites. Le clocher est bâti en 1750. .
Le temple, qui fut construit en 1842[84]. C'est le troisième du village.
Les vestiges d'un cimetière wisigoth, remis au jour lors de fouilles archéologiques - L'ancien cimetière, utilisé du VIIIe au XIXe siècle.
- L'ancien moulin à eau, construit au XIIe siècle, qui a été un moulin à blé, à châtaigne puis à huile et qui a été plusieurs fois ravagé par les inondations.
- L'ancienne gare est située sur la ligne du Vigan à Quissac. Elle a nécessité l'existence de nombreux viaducs et tunnels longeant la vallée du Rieutord
-
en direction de Ganges, l'ancienne mine de fer, de zinc et de plomb des Deux-Jumeaux, La tour dite le Font de Ville qui a été la demeure de l'un des premiers pasteurs du bourg -L'ancien hôtel la Galère, datant des XIIIe et XIVe siècles.
- Les Erbuns, des passages souterrains qui donnaient accès aux anciens remparts.
- L'ancien four banal qui appartenait depuis environ 1520 à la famille Étienne, seigneur de Saint-Martial.
- Le porche des Bémis, construit du Xe au XIIe , qui était le passage obligé, au Moyen Âge, pour aller à Saint-Martial ou à Saint-Roman
- La porte du Pied-de-Ville, surnommée Arceau de Pied-de-Ville, sur lequel on peut lire la devise du village, datant des guerres de Religion
- Le Pont-Grand. Il est aussi pendant longtemps appelé Pont-Vieux. Ses origines remontent au XIIe siècle. .
- Le Pont du Recodier est construit vers 1600 et reconstruit en 1778. Il est doublé en largeur en 1873
- Le Pont-Petit est construit vers 1785 pour remplacer une passerelle et laisser passer des charrettes.
- en direction de Saint-Roman-de-Codières, le moulin de Serviel, un moulin à blé et à huile ayant appartenu à l'abbaye de Sumène aux Xe et XIe siècles ;
- en direction du hameau du Pouget, la chapelle Saint-Cyprien, construite à l'emplacement d'une ancienne abbaye détruite en 1568.
- Le prieuré Saint-Martin de Cézas, situé près du hameau de Cézas et édifié au XIIe siècle ;
- Les ruines de l'ancienne église de Cézas, près du hameau de La Croix.
Une des anciennes filatures, nommée Salle Polyvalente du Diguedan,
Sauve
maison de l'Évêque, classée en 2004 (contrairement à ce qui fut parfois annoncé, il ne s'agit pas d'un ancien évêché mais d'une demeure de villégiature de l'évêque de Maguelone)
la maison Poch, inscrite en 1956 ; - l'ancien oppidum de Sauve, inscrit en 1971 ; - la tour de Môle, inscrite en 2004. - le "pont vieux", d'origine médiévale, franchissant le Vidourle ;
- "Fontaine de Sauve" : résurgence de "type vauclusien" - l'église, très remaniée au XIXe et son puisant clocher carré ;
- la tour de l'horloge médiévale surmontée de son campanile en fer forgé abritant la cloche des heures ;
- le temple protestant et son vaste fronton triangulaire surmontant sa façade néo classique de la première moitié du XIXe siècle ;
- l'hôtel de ville et son important portique à colonnes néoclassiques (vers 1820) en face de l'église,
- le Conservatoire de la fourche, le seul lieu a pratiquer encore la fabrication de fourche au bois du micocoulier. Avec l'office de tourisme, il est installé au sein d'anciennes « cazernes »
- le village, à l'aspect extrêmement pittoresque, est accroché sur une pente abrupte dominant le Vidourle ; nombreuses ruelles avec passages voutés, venelles et escaliers.
- la Mer de Rochers est un chaos de rochers calcaires. Cette zone de karst à tourelles et sorte de cité ruiniforme se visite gratuitement. On y trouve les restes du château de Roquevaire qui est une propriété privée ouverte au public pour les journées européennes du patrimoine. Ou encore les restes du Castellas dominant la cité médiéval au sud. Plus au sud encore, on notera les ruines de l'ancien château de La Roquette au dessus d'une boucle du Vidourle.
- divers autres mas dont celui de Pigné ou Pignet remarquable (fin XVIIIe, début XIXe ; maison natale de Théodore Sivel) ;
- l'ancien établissement thermal de "Fonsange-les-Bains" au pied du massif de Coutach dont le pont culminant domine Quissac et Sauve de 472 mètres ;
- le château de l'Évesque, résidence de Jean Astruc et le moulin à eau attenant, plus ancien ;
- à l'est de la commune, sur la route de Durfort, dominant cette dernière, l'élégant château de Valfons dont le corps de logis principal est entouré à chaque extrémité de deux tours rondes ;
- l'ancienne gare, aujourd'hui restaurant, datant de 1872, typique de l'architecture ferroviaire du PLM dans la seconde moitié du XIXe siècle.
Valle rauque
- Église. Édifice reconstruit au XVIIe siècle, son clocher possède à l'un de ses angles, un petit campanile en fer abritant une cloche pour les heures datant de 1522.
- Temple de l'Église Réformée de France. Construction néoclassique du début du XIXe siècle.
- Nombreuses façades, portes et ferronneries des XVIIe au XIXe siècles.
- Prieuré Notre-Dame-de-Bonheur. Fondation de la famille de Roquefeuil, confiée à des chanoines résidents. Les jours de neige et de brouillard, ils sonnaient la cloche afin de guider voyageurs et pèlerins, d'où parfois le surnom de Saint-Bernard des Cévennes.
- Arboretum de l'Hort de Dieu. Situé sur le flanc sud du Mont Aigoual et aménagé au début du XXe siècle.
- Observatoire du Mont Aigoual. Édifié de 1888 à 1894. Dernier observatoire météorologique de France situé en montagne et en activité.
- Montée des 4000 marches permettant l'ascension de l'Aigoual à pied.
- Barrage aménagé chaque été au Moretou, près de la route de l'Aigoual, afin de permettre la baignade dans l'Hérault.
Vissec
- Le four à pain du village. - Les moulins de la Foux.
- Promenade dans le village : Le Castellas et le château, le four communal, la rue, nombreuses maisons à balet.
L'église construite sous le vocable de Saint Blaise en 1698 sur l'emplacement de 2 jardins achetés à des particuliers.
Date de dernière mise à jour : 2016-06-30 16:29:08