maison de lozére
balade en lozére
Balade : en partant de Ruynes-en-Margeride , par Langogne , Châteauneuf-de-Randon ,Mende , arrivée à Marvejols .
Châteauneuf-de-Randon
place forte des barons de Randon , la statuts en bronze du connétable se dresse sur la place et un musée lui est consacré , perché au sommet d'une colline granitique, le village domine toute la région et offre un décor architectural authentique. L'immense place pavée à l'ancienne est une curiosité. Sur le champ se dresse la statue monumentale de Du Guesclin, héros de la Guerre de Cent Ans, mort au village en 1380. La tour des Anglais est le seul vestige du château.
Mende
dominée par le mont Mimat se niche au coeur de la haute vallée du Lot.
Chef-lieu du département, capitale des grands espaces, Mende, aux portes des gorges du Tarn et du parc national des Cévennes, est une ville à la campagne qui a gardé son caractère moyenâgeux, ses rues étroites et sinueuses, son patrimoine de qualité.
Un circuit pédestre d’une durée d’une heure trente vous permet, avec ses 28 bornes signalétiques, de découvrir à votre rythme et en toute liberté, ce patrimoine si riche. Le pont Notre-Dame, datant du XIIIe siècle, était le seul qui existait à Mende à cette époque. Le musée, créé en 1836, présente des collections intéressantes : période préhistorique et gallo-romaine, documents archéologiques... Tout témoigne de l’antiquité de la ville et de ses richesses.
C’est en 1368 qu’Urbain V, pape en Avignon, décide la construction de la cathédrale. Elle ne sera pas épargnée par les guerres de religion. De la célèbre cloche "Marie-Thérèse", il ne reste que le battant de 470 kg pour une hauteur de 2,20 m. A l’intérieur, des tapisseries d’Aubusson de 1706, de magnifiques stalles en bois sculpté, la crypte de Saint-Privat, la statue de la Vierge Noire, le tombeau des évêques de Mende.
Langogne
son église dédiée à St Gervais et St Protais , fondée en 998 , le sanctuaire fut confié à des moines bénédictins ; le bourg de Langogne se développa autour du monastére .Près des sources de l'Allier, à l'extrémité de la Margeride, traversée par le Langouyrou qui descend de la forêt de Mercoire voisine, Langogne est aujourd'hui une cité gardant intacte sa configuration médiévale. Le marché par exemple se déroule dans une magnifique halle construite en 1742 ; le village a conservé également son église du XIe siècle.
Ruynes en Margerides
dominé par un donjon du XIIIe siècle , ce petit village de
le bourg se situe à 920 mètres d'altitude sur un plateau que dominent les monts de la Margeride, dont le sommet du Signal et le tristement célèbre Mont Mouchet, haut lieu de la résistance. La tour du XIIe siècle est tout ce qu'il reste du château. Elle fait partie de l'Ecomusée de la Margeride. Le clocher isolé au milieu du cimetière faisait partie de l'ancienne église. L'édifice actuel, au centre du village date du XIXe siècle.
Marvejols
avec ses trois portes : du Soubeyran , de Chanelles et du Théron ,elles sont flanquées de deux grosses tours rondes reliées par une courtine . c'est une cité médiévale de caractère marquée par la culture occitane et façonnée par l’homme depuis des siècles. Du menhir de l’époque gallo-romaine aux trois imposantes portes fortifiées du XVIIe siècle, en passant par l’église Notre Dame de la Carce et les statues modernes de Henri IV et de la bête du Gévaudan, Marvejols est un véritable voyage à travers le temps et l’histoire en Haut Languedoc.
A ne pas manquer
Castelbouc
Castelbouc, en Lozère, mérite le détour : village troglodytique de la rive gauche du Tarn, ses maisons sont accrochées à un piton rocheux. Au sommet subsistent les ruines de l’ancien château médiéval, détruit en 1592. Le village tient son nom d’une étrange légende : pendant les Croisades, tous les hommes étant partis à la guerre, c'est le seigneur qui aurait dû contenter toutes les femmes du village et en serait mort d’épuisement. Depuis, son esprit prenant la forme d'un bouc survolerait le château à la nuit tombée…
Hyelzas
La canourgue
- La collégiale Saint-Martin de La Canourgue, du XIIe siècle.
- Chapelle Saint-Frézal, du XIIe siècle, abritant le tombeau (authentifié) de saint Frézal, un des premiers évêques de Lozère, mort assassiné en 828.
- Château de Montjézieu, dans l'ancienne commune de Montjézieu. - Dolmen de Chardonnet
La garde guérin
La tour de la Garde-Guérin, datée du XIIe siècle, est en fait le donjon médiéval du castrum. De plan carré, haute de 21,50 mètres, elle a cinq niveaux et présente un appareil à bossage unique dans la région. Au pied de la tour sont visibles les vestiges du logis seigneurial ayant appartenu aux consuls nobles de la Garde-Guérin. Il n'est pas d'origine médiévale puisqu'il n'est pas répertorié au "vidimus" de 1364. On le daterait du XVIe siècle mais il a été détruit par un incendie en 1722
Le malzieu
Le Malzieu au Moyen Âge possédait sept tours qui étaient reliées entre elles par des remparts :
- la tour de Mercœur (en 1739, elle est désignée « Tour de Jaumes ») située au nord-ouest, est fort abaissée et recouverte d'un toit ;
- la tour de Jonas, est emportée le 27 août 1656 par une crue du Galastre, les ponts sont tous noyés, la tour de sera jamais reconstruite faute de moyens ;
- la tour de Bodon à l'est, elle est la tour la mieux conservée, elle abrite l'office de Tourisme ;
- la tour de Crussols, de nos jours il n'en reste que de minces traces ;
- la tour de Thaler est située au nord-ouest au côté du trou de Merle, écrêtée mais conservée ;
- la tour de la Communauté, détruite par les troupes de Joyeuse ;
- la tour de Tourlande, détruite par les troupes de Joyeuse
Nasbinals
: Église Sainte-Marie de Nasbinals.
Typiquement dans le style du roman auvergnat, l'église romane a été construite aux XIe et XIIe siècle, puis remaniée au XIVe, en granite "de la Margeride" (gros feldspaths bien visibles = dents de cheval) avec quelques éléments de basalte et de tuf volcanique, sous ses toits de schiste. Elle développe un plan harmonieux de nef unique, compris par un transept sur lequel se greffe l'abside principale précédée d'une travée droite et de deux absidioles. Le clocher octogonal coiffe la croisée. À l'intérieur, la coupole couvre la croisée délimitée par quatre fortes arcades doublées que supportent des colonnes massives.Le pourtour polygonal de l'abside est enjolivé d'une galerie de petites arcatures en plein cintre. Voûtes en berceau, sauf pour la nef, refaite en ogives à l'époque gothique. Un christ du XVIe siècle et du mobilier polychrome du XVIIIe.Le portail, à double voussure en plein cintre, s'ouvre au midi sur la place du village : trois de ces chapiteaux sont sculptés de feuillage, le quatrième, remarquable, présente le combat d'un sagittaire et d'un lancier
St Chely d'apcher
- Cette ville possède un vieux donjon qui est aussi le clocher de la ville.
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption
Ste Enimie
- L'église Notre-Dame-du-Gourg du XIVe siècle où l'on pourra apprécier les diverses statues de bois et de pierre des XIIe et XVe siècles, sans oublier la céramique retraçant la vie d'Énimie.
- Le monastère fortifié : une abbaye dont il ne reste aujourd'hui que trois salles à savoir l'entrée, la crypte et la salle capitulaire.
- L'ermitage, une grotte, a été aménagé au fil des siècles et des pèlerinages. Il abrite aujourd'hui une chapelle.
- La source de la Burle : c'est dans cette source qu'Énimie se serait baignée, et aurait été guérie de la lèpre. C'est par ailleurs cette source qui avait donné son nom primitif au village de Burlatis. Cette source est de type vauclusien.
- Ensemble mégalithique de l'Aire des Trois-Seigneurs - Croix - Château de Prades
Le château de Luc
Ce château est situé sur la commune de Luc, en Lozère, ancien village frontière entre le Vivarais et le Gévaudan, position très stratégique, gardienne de la voie Regordane, ce chemin très emprunté, en autres, par les pèlerins de Saint Gilles. Dominant la vallée de l'Allier, construit sur un emplacement celtique, au pied de la forêt de Mercoire, il voit, non loin de là, le massif du Tanargue.
Construit entre le VIe au Xe siècles [1], les ruines encore visibles attestent la puissance de cette ancienne forteresse qui joua un rôle militaire important dans la région jusqu'à la première moitié du XVIIe siècle[2]. Le bâtiment rectangulaire qui constitue le logis du château est largement appareillé en arête-de-poisson sur l'ensemble de ses façades
Date de dernière mise à jour : 2016-07-12 15:51:57