maison de lorraine
balade en lorraine
Balade : en partant de : Vaucouleurs , par Commercy , Saint-Mihiel , Verdun , arrivée à Marville .
Saint-Mihiel
Aux Portes du Parc naturel régional de Lorraine, le pays de Saint-Mihiel multiplie les richesses naturelles, religieuses et artistiques. La cité s’est développée au IXème siècle autour de son abbaye bénédictine dédiée à Saint-Michel pour devenir un phare spirituel et commercial.
C’est la patrie de Ligier Richier, artiste majeur de la Renaissance, né ici vers 1500. Il a laissé une quantité d’œuvres remarquables dans la région comme cette sculpture en bois de noyer abritée par l’église Saint-Michel, la "Pâmoison de la Vierge".
Dans les rues du village, le visiteur peut admirer des belles façades d’anciennes demeures datant du XVIème et du XVIIIème siècle.
Sur la rive droite de la Meuse, les colosses de Saint-Mihiel ou Dames de la Meuse sont une curiosité à ne pas manquer : il s’agit de sept blocs de roche calcaire haut de 20 mètres qui encadrent la cité. Les amateurs d’artisanat d’art ne manqueront la Verrerie du Couvent des Minimes : un atelier créé par le maître verrier d’origine hollandaise, Herman Kampman.
ses deux citadelles appelées château bas et haut : le premier en ruine , le second fut reconstruit en 1707 .
Sous-préfecture de la Meuse, la ville de Commercy s’est développée sur la rive gauche du fleuve dans un cadre verdoyant de forêts.
Son principal attrait réside dans son impressionnant château XVIIIème siècle ayant appartenu au Roi Stanislas.
Au cœur de la cité, le visiteur découvre de très belles maisons Renaissance, notamment rue des Juifs et rue des Moulins. Il ne faut pas manquer le remarquable prieuré bénédictin du Breuil, fondé en 1096.
Commercy abrite un étonnant Musée de la Céramique et de l’Ivoire, aménagé dans l’ancien complexe des bains-douches municipaux au style Art Déco. Il présente l’une des plus importantes collections d’ivoires européens et asiatiques sculptés entre le XVIIème et le XIXème siècle. Impossible de quitter Commercy sans goûter la fameuse madeleine, ce petit gâteau doré et onctueux qui fut inventé par une soubrette du château de Stanislas.
Vaucouleurs
les vestiges du château de Baudricourt,la porte de France, la tour des anglais, la tour Laurent et la maison Le Royer .
Tout comme sa voisine Domrémy-la-Pucelle, Vaucouleurs est la patrie de Jeanne D’Arc.
C’est le lieu historique de la rencontre entre Jehanne et Charles VII, alors déchu de la couronne. Elle franchit la fameuse Porte de France en 1429 déguisée en homme et escortée par six hommes. Ce monument historique aujourd’hui classé est quasi intact.
Tout à côté, le visiteur découvre la célèbre statue en pierre de la Vierge à l’Enfant dans la Crypte Notre-Dame, devant laquelle Jeanne d’Arc s’est recueillie.
L’hôtel de ville abrite des tapisseries d’Aubusson représentant la vie de la Pucelle ainsi qu’un grand tableau de Sherrer représentant son départ en croisade. Pour tout savoir sur l’épopée, le mythe et l’imagerie johannique, l’admirable musée Jeanne d’Arc répondra à toutes vos questions.
Chaque année en février, la cité médiévale rend hommage à la célèbre bergère lors de grandes fêtes médiévales.
C’est aussi la patrie d’une autre Jeanne : Jeanne Bécu comtesse du Barry et favorite de Louis XV. Le "Val des Couleurs" vaut également le détour pour son environnement exceptionnel, près du Parc Naturel Régional de Lorraine.
Marville
avec ses maisons dites " espagnoles" ornées de façades sculptées , telle la maison du Prieuré , la maison des drapiers , l’église St Nicolas sept chapelles latérales , le choeur ogival , la vierge à l’enfant.
Ce village est fait pour séduire les amateurs d'architecture. Tout d'abord occupée par les romains, la cité abrita une industrie florissante du cuir et du textile, et connut une grande prospérité jusqu'à la renaissance. Les troupes espagnoles qui occupèrent le village de 1555 à 1659, laissèrent derrière elles de grandes demeures aux façades enduites de chaux jaune. La place principale est bordée de maisons des XVIe et XVIIe siècles. Dans l'austère église du XIVe siècle se trouve un orgue ceint d'une magnifique balustrade du XVIe siècle. Par delà les ruines d'un couvent édifié en 1629 se dresse un cimetière offrant d'impressionnantes sculptures funéraires des XVe et XVIe siècles.
Verdun
ville martyre ,centre mondial pour la paix , son hôtel de la princerie, sa cathédrale Notre-Dame , son enceinte fortifiée lieux de la bataille 1916 .
La célèbre cité de Verdun fut au cœur des plus grands événements de la Grande Guerre avec la plus célèbre bataille du siècle en 1916. D’abord oppidum gaulois puis castrum romain, la ville a connu depuis la nuit des temps un rôle stratégique et fut le symbole de combats héroïques. Un riche passé qui se découvre à travers une grande palette de monuments historiques.
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A ne pas manquer
Memorial américain butte de Montsec
Au sommet de la colline, à une altitude de 377 mètres, se trouve un monument commémorant les offensives menées par l'armée américaine sur le saillant de Saint-Mihiel (à environ quinze kilomètres à l'ouest de Montsec) lors de la Première Guerre mondiale, du 12 au 15 septembre et du 9 au 11 novembre 1918.Le monument, érigé en 1932 en pierre d'Euville, est constitué d'une rotonde à colonnade de style néoclassique, dont le centre est occupé par une table d'orientation sur laquelle est sculptée une carte en bronze illustrant le champ de bataille. Lors de la Seconde Guerre mondiale, le site fut réinvesti par l'armée allemande pour constituer un point de surveillance protégé, puis fut repris par une offensive aérienne alliée accompagnée de bombardements. À cette occasion, le monument fut légèrement endommagé, puis réparé par la suite. Il a été classé monument historique par un arrêté du 7 avril 1975.
Le monument se veut aussi le symbole de la coopération entre armée française et américaine ayant permis la reconquête de Saint-Mihiel. Il a été construit sur les plans de l'architecte américain Egerton Swartwout, par l'agence gouvernementale américaine American Battle Monuments Commission qui continue de l'entretenir
Beaulieu en argonne
Pressoir du XIIIe siècle, unique en Europe : vestige de l'abbaye de Beaulieu (anciennement abbaye de Vasloge), fondée au milieu du VIIe siècle par un moine bénédictin écossais, Saint-Rouin et démontée après la révolution
- Table d'orientation Église Saint-Rouin XIXe siècle
- Ermitage de Saint-Rouin. Chapelle reconstruite à l'emplacement d'un oratoire du XVIIe siècle, érigé sur le site de l'ancien ermitage où vécut Saint-Rouin, fondateur de l'abbaye de Beaulieu-sur-Argonne. Construite de 1954 à 1961 (consacrée le 22 mai 1961) par l'architecte du couvent du Saulchoir, le Père L.-B. Rayssiguier, disciple de Le Corbusier[6]. Autel, porte, croix, confessionnal, sol, bénitier de Pierre Szekely
Toul
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- Remparts gallo-romains (vestiges) construits au IIIe siècle et situés Passage B, près de la place des Trois-Évêchés avec enceinte.
- Commanderie des Templiers de Libdeau. Unique vestige de l'architecture templière en Lorraine. Commanderie fondée avant 1190. Portail de la chapelle déposé au musée lorrain de Nancy.
- Ancien hôpital des Bourgeois et ancien hôtel de Pimodan situé 6, 6bis, 8 rue du Général-Gengoult anciennement 6, 8 rue Saint-Gengoult construit aux XVe siècle ; XVIe siècle ; XVIIe siècle ; XVIIIe siècle. Fondation médiévale de l'ancien hôpital des Bourgeois, devenu hôtel particulier. Architecture échelonnée du Moyen Âge au XVIIIe siècle. Ancien hôtel de Pimodan (dépendance de l'hôpital) aménagé de la fin du XVe au XVIIIe siècle.
- Ancienne Maison de l'Apothicaire de style Renaissance située 8 place de la Croix-de-Fue : escalier ; élévation ; toiture ; balustrade construite au XVIe siècle.
- Ancienne Maison dite des Chevaliers de Malte située 30 rue du Général-Gengoult : élévation ; toiture, construite au XVIIe siècle.
- L'Hôtel de ville, ancien palais épiscopal érigé au XVIIIe siècle sous Scipion-Jérôme Bégon (1723-1753) et Claude Drouas de Boussey (1754-1773), évêques de Toul.
- Le Musée d’Art et d’Histoire, dans l’ancienne Maison-Dieu dont la fondation remonterait au Xe siècle sous l’épiscopat de saint Gérard.
- Fontaine Louis-Curel, entre la rue Gambetta et la rue Thiers. Par ailleurs, il existe aussi une fontaine Louis-Curel à Saint-Germain-sur-Meuse.
- Les Fortifications de Toul, construites par Vauban, quelque peu modifiées, mais toujours en eau, encerclant le centre-ville dans un écrin de verdure et d’eau.
- En 1874, la Place de Toul devient l’une des principales places du système Raymond Adolphe Séré de Rivières.
- De 1887 à 1914, l’adaptation militaire du système Decauville va être réalisée par le commandant Péchot à la batterie de Bouvron près de Toul
- La ville de Toul, malgré les dommages causés lors de la Seconde Guerre mondiale, montre une riche variété architecturale du Moyen Âge à nos jours.
Lac madine
Le lac de Madine est un plan d'eau artificiel de Lorraine, établi à cheval sur les départements de la Meuse et dans une moindre mesure de Meurthe-et-Moselle, sur le cours de la Madine qui est un sous-affluent de la Moselle. S'il est le premier lac de Lorraine au point de vue de la superficie, il se place deuxième derrière le lac de Pierre-Percée concernant le volume d'eau
Commercy
- le château de Commercy fut la résidence de la duchesse douairière de Lorraine et de Bar, Élisabeth Charlotte d'Orléans, puis de Stanislas Leszczy?ski, roi déchu de Pologne mais beau-père de Louis XV
- le prieuré de Breuil où a séjourné Dom Calmet a été récemment restauré
- l'ancien hôtel de ville, place Charles de Gaulle (architecte Charles-Louis de Montluisant) ;
- la Pharmacie Malard, 23 place Charles de Gaulle - le Château Stanislas - le château de Wynter, construit avant 1766 - l'hôpital Saint-Charles, 1 rue Henri-Garnier - la maison 1 rue des Juifs - la maison 6 rue des Moulins
- l'église Saint-Pantaléon.
Bar le duc
Bar-le-Duc détient le label « Ville d'art et d'histoire » du Ministère de la Culture depuis 2003, et fait partie du réseau « Les Plus Beaux Détours de France » La Ville Haute et le château sont classés « secteur sauvegardé » depuis 1973
La commune compte 36 monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques et 6 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel. Par ailleurs, elle compte 162 objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[ et 20 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel
Ligny en barrois
- La chapelle Notre-Dame des Fossés - L'Hôtel de Ville du XVIIIe siècle - Le parc municipal ou parc de Luxembourg
- Les portes monumentales de la ville
Vaucouleur
- L’église paroissiale Saint-Laurent : elle a été édifiée entre 1782 et 1785.
- La chapelle castrale[8] : construite entre 1923 et 1929, elle sera bénie en 1930 par le cardinal Lépicier, natif de Vaucouleurs. Elle occupe l'emplacement de la chapelle primitive bâtie en 1234.
- L'hôtel de ville : construit entre 1847 et 1848 à l’emplacement d’un ancien couvent,
- Les remparts et la tour dite des Anglais : ensemble fortifié du XIIe siècle.
- La tour du roi : édifice fortifié de la ville datant du XIIIe siècle. Elle a été classée monument historique le 14 novembre 1979
- Le château de Vaucouleurs : du château de Robert de Baudricourt où le destin de Jeanne d'Arc se décida, il ne subsiste que la crypte de la chapelle castrale et la Porte de France.
- Le château de Gombervaux : construit au XIVe siècle à l'extérieur de la ville,
- Le château de Tusey : construit dans la seconde moitié du XVIIIe siècle,
- Le cimetière juif (inscrit à l'inventaire des Monuments historiques) : il témoigne de la présence juive à Vaucouleurs.
Azannes
village des vieux métiers
- L'église Saint-André, construite en 1784 détruite au cours de la Première Guerre mondiale et reconstruite en 1928.
- La chapelle des vieux métiers, ancienne chapelle castrale d'Arrancy-sur-Crusnes, démontée pierre par pierre et remontée à Azannes.
- Festival des vieux métiers chaque mois de mai.
- Cimetière militaire 4750 Allemands (1914-1918).
- Cimetière militaire lieu-dit Le Bochet 817 Allemands (1914-1918).
- Il existait à Soumazannes et à Montaubé, des chapelles à présent détruites
Avioth
Ce modeste village s'orne de façon tout à fait inattendue d'une merveilleuse église gothique des XIIIe et XIVe siècles : la basilique Notre-Dame d'Avioth. L'intérieur recèle de très beaux ornements et notamment, dans le chœur, un mobilier de pierre parfaitement conservé des XIVe et XVe siècles, mais c'est à l'extérieur que se trouve le plus étonnant : la « Recevresse ».
Date de dernière mise à jour : 2016-07-12 15:46:33